Côté Plage : Best of île de Ré

Après avoir sillonné les côtes françaises tout l’été, retrouvez toute cette semaine le best-of de notre Tour de France des plus belles plages !

A l’origine une île de pêcheurs large de 85 km², l’île de Ré, surnommée « Ré la blanche », en raison de la teinte caractéristique de ses maisons traditionnelles, est aujourd’hui une destination prisée. Les touristes aiment à se promener dans les ruelles calcaires, bordées de roses trémières fleuries, découvrir les anciennes bâtisses et apprécient avec bonheur le caractère unique du bord de mer rétais. Retrouvez l’île de Ré dans ses grandes lignes historiques!

(c) Ile de Ré

Paul Vitart cultive avec amour et passion ses fruits et légumes. Partisan de l’agriculture raisonnée, qui « permet de traiter un minimum, s’il y a vraiment un problème, mais avec des incidences moindres sur la faune » comme il l’explique. Cependant, pour Paul Vitart, le plus important est d’établir des relations stables avec sa clientèle : « C’est sûr qu’il y a un gage de confiance. Les gens peuvent venir directement sur la production et voir ce qu’ils consomment. Les clients attendent surtout du goût. ». Il conclut : « Je suis assez fier du goût de mes produits et j’arrive à fidéliser la clientèle ! » L’entretien passionné de Paul Vitart.

(c) Paul Vitart

Il est un établissement, dans la commune de Saint-Clément les Baleines, qui régale touristes et habitants depuis presque cent ans : Le Chat Botté. Tenu d’une main de maître par le chef Daniel Massé, ce restaurant ne propose à la carte que des produits frais et des poissons sauvages choisis par le chef lui-même à la criée de La Rochelle. « Nous avons un attachement aux produits du terroir » explique le chef, « la fleur de sel de l’île de Ré, le vin, le beurre, tous ces produits qui font partie de notre patrimoine ».L’interview de Daniel Massé dans son intégralité.

(c) Ile de Ré

Afin de sublimer le terroir gastronomique de l’île de Ré, Daniel Massé a concocté une fricassée de langoustines aux rouelles de pommes de terre primeur poêlées au beurre AOC. La suite de la recette ici.

(c) Ile de Ré

L’île de Ré, malgré sa petite superficie, est riche d’une gastronomie naturelle et pleine de saveur. De nombreux petits producteurs et artisans parsèment l’île, que ce soit en spécialités locales (Bière de Ré , II, ZAC les Clémorinants-La Noue, 05 46 43 82 63 ; Biscuiterie de Ré, ZAC Les Clémorinant- La Noue, 05 46 43 89 06) ou en haute gastronomie (La table d’Olivia, Hôtel de Toiras, I, quai de Job-Foran, 05 46 35 40 32 ; Le Chat Botté, 20, rue de la mairie, Saint-Clément-des-Baleines, 05 46 29 42 09). Nos plus belles adresses rétaises !

(c) Ile de Ré

Visuels : © DR

Côté Plage : Best of La Baule

Après avoir sillonné les côtes françaises tout l’été, retrouvez toute cette semaine le best-of de notre Tour de France des plus belles plages !

La Baule était la troisième étape de notre Tour de France des plus belles plages. Avant de devenir la station balnéaire prisée qu’elle est aujourd’hui, La Baule était à l’origine un lieu-dit quasiment désert, au milieu de dunes plantées de pins. Le temps des premiers habitants est aujourd’hui bien loin. La Baule, grâce à ses développements urbains, à la construction de la ligne de chemin de fer et à la mise en valeur de son littoral, a su devenir une destination où prime la douceur de vivre. Découvrez ici toute l’histoire de La Baule!

(c) La Baule

Nous ne pouvions faire une semaine consacrée à La Baule sans parler de l’une de ses spécialités les plus gourmandes : le Fondant Baulois, un gâteau au chocolat à la texture incomparable. « Le Fondant Baulois permet aux gens de partout de découvrir notre produit. C’est aussi une manière de valoriser notre région, de valoriser la ville dans laquelle on vit et de contribuer à l’image de notre région, de notre terroir » explique Marie-Sophie Boullier, gérante de l’entreprise avec son mari, « Je pense que [promouvoir les spécialités locales] c’est quelque chose de positif. […] Pour nous, le produit est la star. » La suite de l’entretien ici.

(c) Le Fondant Baulois

Faire « pétiller les papilles » de ses clients est l’un des vœux d’Eric Mignard, chef du restaurant gastronomique Le Castel Marie-Louise. Il explique : « Je pense que c’est la moindre des choses de vraiment faire vivre la gastronomie dans la région où l’on travaille. Je ne vais pas mettre des produits méditerranéens si je suis en Bretagne. On se connaît tellement, on se côtoie tellement avec les autres chefs que notre travail de tous les jours c’est ça : mettre en valeur tous ces gens, tous ces produits et ces régions que l’on fait connaître au travers de nos déplacements, nos dégustations et nos démonstrations. Je travaille tous les jours pour ça.» Retrouvez ici l’intégralité de l’entretien.

(c) Le Castel Marie-Louise

A l’occasion de cette semaine dédiée à La Baule, Patrice Hardy, chef et propriétaire du restaurant parisien La Truffe Noire, a décidé de travailler un poisson noble apprécié pour la finesse de sa chair et pêché dans les eaux atlantiques : un pavé de maigre vapeur en écailles, accompagné d’une vinaigrette tomates et asperges… Tous les détails de la recette.

(c) La Baule

Concernant les bonnes adresses, La Baule regorge de spécialités culinaires locales (Le Fondant Baulois, 131 avenue du Général de Gaulle, 44500 La Baule Escoublac ; Biscuiterie Saint-Guénolé, 50 Rue du Croisic, 44740 Batz-sur-Mer, 02 40 23 90 01) et de très beaux établissements gastronomiques (Le Castel Marie-Louise, 1 Avenue Andrieu, 44504 La Baule-Escoublac, 02 40 11 48 38 ; Season’s, Esplanade Benoît, 44500 La Baule, 02 40 60 71 68). Retrouvez ici tous les bons plans !

Visuels : © DR

Côté Plage : Best of Dinard

Après avoir sillonné les côtes françaises tout l’été, retrouvez toute cette semaine le best-of de notre Tour de France des plus belles plages !

Au cours de son existence, Dinard a vu passer sur ses terres de nombreux épisodes de l’histoire franco-britannique. C’est seulement au milieu du XIXème siècle que Dinard connaît les changements qui transforment le petit village de pêcheurs en belle station balnéaire. En effet, à cette époque se développent les premiers bains de mer, ce qui suscite un immense attrait des visiteurs pour la Bretagne. Plusieurs personnalités font également l’éloge de Dinard, qui devient rapidement, dans les salons mondains «la Belle, la douce, la reine des plages, la Monaco des étrangers, la perle de la côte d’Émeraude, la Nice du Nord, la plage la plus aristocratique de France… ». Lisez ici la suite de l’histoire de Dinard ici !

(c) Albane Schrimpf

Via Maris, c’est une histoire de passionnés: passionnés de la mer, passionnés du beau produit, passionnés par la transmission de belles histoires. « Notre positionnement est le suivant, » explique Frédéric Compagnon, à l’origine de la création de Via Maris, « partager une passion avec nos clients. » En effet, chaque magasin Via Maris est une invitation au voyage, un parcours balisé de découvertes où la mer et ses rivages en sont le fil rouge. Via Maris c’est la combinaison de trois passions, continue Frédéric Compagnon, « une passion pour la mer, une passion pour la découverte de nouveaux produits, une passion pour les produits de qualité, ceux qui sont beaux et ceux qui sont porteurs de sens. Notre ligne de démarcation, c’est la qualité, les belles choses, tout ce qui fait sens. […] Nous essayons de faire un vrai travail de transmission au client. » conclut-il. Retrouvez toute l’interview de Frédéric Compagnon ici.

(c) Via Maris

Côté gastronomie, Goulven Morel nous a ouvert les portes du Petit Port, l’établissement dont il est propriétaire, et qu’il veut « sans prétention, […] à la carte diverse et appétissante : des accras de morue, des bulots, des sashimis de poisson, des plateaux d’huîtres creuses, de la belle langoustine, du foie gras maison, une salade de langoustine aux asperges et aux fraises, un pavé de rumsteck style « Tigre qui Pleure »… » « La qualité et le frais » sont les maîtres mots du Petit Port à Dinard, une petite adresse qui vaut la peine de s’y arrêter le temps d’un repas. L’entretien de Goulven Morel dans son intégralité se lit ici.

(c) Le Petit Port

Julien Lemarié, chef étoilé à la tête du restaurant le Coq-Gadby à Rennes, a mis en valeur des produits de la région bretonne dans un dessert coloré et gourmand : un Baba au rhum sans rhum à la fine de Bretagne, mara de Plougastel et gingembre. La suite de la recette ici.

(c) RDV Communication

Dinard possède une variété de commerces et d’artisans passionnés de gastronomie. Dans ce carnet d’adresses, nous avons mis en avant les spécialités locales (Boutique Gavottes, Route de Dinard, 02 96 87 42 55 ; La Belle Illoise, 21, rue du Maréchal Leclerc 02 99 46 18 67), les fruits de mer (La Bourriche d’Huîtres, 4, Place de la République, 02 99 16 84 12 ; Chez Françoise, Les Halles, 02 99 46 17 15), une très belle cave (Cave Le Bord’eau, 4, rue de Saint – Enogat, 02 99 46 54 50), la charcuterie (Le Lion d’Or, M. et Mme MASSONE, Rue du Lion d’Or, Cherrueix), la pâtisserie (La Boulangerie de Saint-Enogat, 10 rue de l’église, 02 99 46 14 35) et la restauration haut de gamme (Le Blue B, 46 av. George-V, 02 99 88 26 26 ; La Gonelle, Promenade du Clair de Lune, 02 99 16 40 47). Retrouvez toutes les adresses ici !

(c) Albane Schrimpf

Visuels : © DR

Côté Plage : Best of Deauville et Cabourg

Après avoir sillonné les côtes françaises tout l’été, retrouvez toute cette semaine le best-of de notre Tour de France des plus belles plages !

Départ du périple de deux mois, la Basse-Normandie, dans deux villes incontournables de la Manche, renommées pour leurs plages, leurs promenades et leur culture de l’image: Deauville et Cabourg. Deauville était à l’origine une petite station balnéaire bourgeoise qui, après l’investissement de mécène, devient une ville prestigieuse où le tout Paris aime à se promener. La ville de Cabourg, quant à elle, est une destination prisée pour les bains de mer qui a vu sa popularité augmenter au fil des années et des développements urbains. L’histoire des deux villes se raconte ici.

(c) Cabourg

Nicolas Cherrier, à la tête de l’épicerie fine Le Fils du Pôvre, a été le premier à nous ouvrir les portes de son commerce. Pour lui, « la gastronomie normande a des qualités qu’il faut mettre en avant ». Et la qualité, c’est exactement ce que Nicolas Cherrier promeut dans son magasin : « Je suis tout le temps à la recherche de petits producteurs et j’essaie de trouver des choses que l’on ne trouve pas partout. Sinon je ne vois pas l’intérêt, » explique-t-il, « Les gens recherchent d’une part la qualité, d’autre part des produits qui sortent de l’ordinaire! » Retrouvez ici l’interview de Nicolas Cherrier.

(c) Le Fils du Pôvre

Il est une adresse à Cabourg qui est absolument irrésistible pour les locaux et les touristes : Le Baligan. A sa tête, Arnaud Goupil, chef cuisinier de talent. « On avait un concept [pour le restaurant], » explique-t-il « présenter le poisson directement au client. En effet, tous les poissons sont issus de pêche locale et des ports locaux. On va directement les acheter au pêcheur. » La marque de fabrique du restaurant est la fraîcheur du produit et sa mise en valeur. « Je ne suis pas forcément un artiste des produits de la mer, » admet le chef « mais j’ai toujours aimé mettre en valeur un produit sans oublier le produit en lui-même. Chez nous, c’est toujours le produit qui est mis en avant. On ne le cache pas derrière des épices, ni derrière des garnitures haut de gamme. » La suite de l’interview d’Arnaud Goupil ici .

(c) Le Baligan

Arnaud Goupil, chef cuisinier du restaurant Le Baligan, nous a souhaité partager un classique du restaurant dans lequel il travaille : Une Bouillabaisse façon cabourgeaise. La suite de l’interview d’Arnaud Goupil ici .

(c) Le Baligan

A Cabourg, le carnet d’adresses était un concentré de charcuterie fine (Le fils du Pôvre, 31, avenue de la Mer, 02 31 91 75 51), de bar à cocktails (Chez Guillou, 4, avenue de la Mer) et de gastronomie (Le Hasting’s, 2, avenue de la Mer, 02 31 24 33 09). Deauville était un concentré d’épicerie fine (Les accords Parfaits, 13, place du marché, 02 31 81 42 42), de biscuiterie (La Trinitaine, 40 rue Désiré le Hoc, 02 97 55 02 04) et de gastronomie (Le Spinnaker, 52 rue Mirabeau, 02 31 88 24 40). La suite de l’interview d’Arnaud Goupil ici .

(c) Deauville

Une très belle destination qui a enchanté nos yeux et nos papilles!

Crédits photos : www.belles-photos.net